Le CBD, efficace contre le mal des transports ?

Le CBD, ce cannabinoïde extrait de la plante de chanvre, possède une multitude de propriétés actives et thérapeutique en son sein. Que ce soit pour améliorer notre quotidien, aider à la détente ou encore amoindrir certains symptômes de pathologies graves, le cannabidiol peut s'avérer d’une grande aide. Un éventail de qualité tel que le CBD peut aussi aider les personnes souffrant du mal des transports à voyager dans de meilleures conditions. Dans le même temps, cette molécule tirée du cannabis représente potentiellement un moyen plus sain et naturel de traiter cette affection. Alors, comment le CBD pourrait-il agir bénéfiquement sur le mal des transports ? Le Chanvrier Français se fait un plaisir de vous répondre.

Comment et par quoi se définit le mal des transports ?

La science définit le mal des transports comme étant une affection provoquant des vertiges et nausées relativement violents provoquées par une série de mouvements non-familiers dans un certain espace. La plupart du temps, les personnes qui en sont victimes ressentent cette sensation lors de longs trajets en voitures, en train, en avion et en bateau. Il est impossible de calculer le pourcentage exact de personnes en étant atteintes dans le monde, même si, selon la Bibliothèque Nationale de Médecine des Etats-Unis (National Library of Medicine), cela pourrait concerner en moyenne, 1 tiers (33%) des habitants de cette planète.

Les origines de ce mal n’ont pas encore été découvertes par les scientifiques. Ce qui est aussi le cas concernant certaines observations faites par ces derniers. En effet, par exemple, les raisons du mal des transports peuvent être totalement différées selon les individus. Aussi, il a été observé que les femmes étaient plus sujettes à cette affection que les hommes. Les informations spatiales contradictoires à la base de tout mal des transports peuvent être différentes chez chaque personne. Exemple avec une personne qui n’aime pas être dans le sens inverse de la direction prise par le véhicule, mais dont les secousses ne la dérangent pas le moins du monde.

En 2014, James R. Lackner, dans un article publié dans la revue scientifique américaine nommée Experimental Brain Research, fait état d'autres symptômes et raisons favorisant cette affection. Toujours selon l’homme de science, le mal des transports pourrait aussi être à l’origine de fatigue, somnolence, certaines douleurs aiguës, des maux de crâne ou encore une sensation de froid. Tout un tas de syndrome qui laisserait entrevoir une complexité bien plus profonde que prévu concernant cette pathologie.

A l’heure actuelle, le mal des transports se soigne à travers la prescription de médicaments dits antihistaminiques. C'est-à-dire des médicaments qui viennent endiguer la production de certaines substances naturellement produites par l’organisme. Qu’ils soient à base de scopolamine ou encore de prométhazine, ces médicaments doivent être pris en amont du voyage.

Cependant, comme beaucoup de produits médicamenteux non-naturels, ils peuvent provoquer différents effets secondaires comme la fatigue, la somnolence, une accélération du rythme cardiaque, une bouche asséchée ou encore des étourdissements passagers. De plus, ils peuvent sur le moyen et le long terme créer une forme d’addiction chez le patient. Voilà pourquoi le CBD (cannabidiol) peut, dans les prochaines années, potentiellement s’imposer comme une alternative bien plus saine et naturelle.

Les bienfaits du CBD face au mal des transports

Comme les raisons à la base du mal des transports ne sont pas connues des chercheurs et de la science, il est impossible d’affirmer que le cannabidiol peut guérir les individus en étant victimes. Néanmoins, certains symptômes y étant directement liés, peuvent être amoindris et apaiser par le CBD.

Exemple avec les nausées, les vomissements et les maux de têtes qui, comme on le sait depuis la découverte du Système Endocannabinoïde dans notre organisme, peuvent être fortement réduits. La présence des réseaux de récepteurs CB1 et CB2, lesquels supervisant l'équilibre de nos systèmes digestifs et nerveux, favoriserait la baisse de l'intensité des nausées et des vomissements, le tout en aidant à réguler la sécrétion et le taux de sérotonine présent dans le corps.

Dans l'optique de privilégier une action optimale du CBD sur l’organisme et ainsi lutter efficacement contre les nausées, il serait préférable de le consommer par voie orale. Le fait de consommer le CBD de cette manière privilégiera une meilleure dissipation de ses bienfaits dans l'ensemble de l’organisme. A noter, que cela permettrait aussi au CBD, en plus de stimuler le SEC, d’agir directement sur la zone concernée, à savoir pour les nausées et vomissements, le système digestif. Ajoutez à cela que, si consommer sur le long terme, le cannabidiol peut aider notre système à se renforcer face à ce type de maux.

Ses propriétés antidouleurs, relaxantes, apaisantes ainsi que son rôle de régulateur d'énergie peuvent quant à eux, aider à combattre les symptômes relevés par le scientifique James R. Lackner.

Cependant, le nombre trop peu élevé d’études sur le sujet vient jeter une petite ombre au tableau, des résultats concrets ayant besoin d’être observés avant toute création de traitement à base de cannabidiol. D’ailleurs, ce dernier ne doit en aucun cas être considéré comme un médicament à part entière, son utilisation se limitant seulement à celle d’un complément thérapeutique.

Veillez aussi, en cas de prise d’un traitement médicamenteux, de consulter votre médecin en amont de toute consommation de cannabidiol. Il vous aidera ainsi à savoir si toute interaction médicamenteuse peut avoir lieu, et vous conseillera également sur la posologie.

Pour finir, il est important qu’en tant que client, vous fassiez très attention à la provenance et la qualité de vos produits. Raison pour laquelle Le Chanvrier Français vous invite à visiter sa boutique en ligne ou à faire un tour dans ses magasins afin de découvrir ses multiples gammes premium et biologiques. Nos équipes restant à votre disposition pour toute information complémentaire.